Transvoirie accompagne le Tour de Romandie
Après l’édition 2016, première année d'apprentissage, Transvoirie et le Tour de Romandie déploient un plan visant à optimiser la collecte, le transport et le tri des déchets tout en réduisant les émissions de CO2. Avec l'introduction d'une stratégie de développement durable, le Tour vise l'obtention du certificat "reCycling" délivré par l'UCI.
En 2016, le Tour de Romandie a formalisé un partenariat de trois ans avec Transvoirie. L’entreprise partage ses expériences et ses compétences afin de déployer un plan de développement durable qui bénéficiera à l'épreuve sportive. En 2017, le Tour de Romandie et Transvoirie se sont fixés l'objectif de diminuer la production des déchets et de CO2, augmenter le taux de recyclage et mesurer les progrès accomplis. Cette stratégie permettra de garantir une politique de suivi et d’amélioration en matière de développement durable et répondre aux critères nécessaires à l'obtention du label reCycling de l'UCI.
Informer les équipes et le public pour un meilleur tri
En 2016, cinq tonnes de déchets ont été récoltées et une tonne et demi a été recyclée. Pourtant, on se souvient qu'un un car de coureurs a déversé le contenu de ses toilettes dans la nature. L'organisation a décidé de mieux sensibiliser les équipes en leur envoyant des consignes précises sur le tri, les points de récupération et les filières de recyclage. Par ailleurs, les coureurs pourront à nouveau utiliser des zones de délestages disposées à 20km de l'arrivée. Côté public, 17 zones de tri installées tout au long du parcours inciteront sponsors, exposants et participants à trier leurs déchets. Leur participation est indispensable et la signalisation sera renforcée pour en faciliter l'identification.
Réduire l’impact environnemental du Tour de Romandie
Les véhicules de collecte des déchets qui sillonneront la Romandie seront alimentés uniquement avec du biocarburant suisse produit à partir d'huiles végétales collectées et transformées en interne par Leman Bio Energie. Ce combustible remplace le diesel fossile et permet de réduire la production de CO2 de près de 60%. Contrairement aux biocarburants de première génération (issus du colza, du soja, de la canne à sucre, etc.), il ne concurrence pas l'utilisation alimentaire des matières premières.
Tout comme le vélo, les véhicules de Transvoirie limitent leur impact sur l'environnement. C'est notre engagement pour le monde de demain.